« Ne faites pas confiance à ceux qui ont crée le problème pour le résoudre» nous disait Einstein

Le modèle économique que la France a choisi s’appuie sur :

–          Une finance libéralisée

–          Le libre échange

–          Une fiscalité favorable aux plus riches….

A qui profite prioritairement ce système ?

Alors qu’entre 1964 et 2008 le salaire moyen a progressé de 30 %,  les gains de productivité étaient eux de 140 %. Entre 1979 et 2006 le revenu réel moyen des ménages appartenant au quintile inférieur augmentait à peine d’une dizaine de pour cent, celui des ménages du quintile supérieur de plus de 85 % et celui du 1% des mieux rémunérés de 256%.

D’autres choix de répartition de la richesse auraient pu être faits.

Doit on encore accepter cette situation comme une fatalité ?

La sortie de crise ne dépend pas d’un hypothétique regain de croissance mais d’un changement dans la répartition des revenus,  afin de réparer les dégâts sociaux et de poser les bases d’une société plus juste, compatible avec le défi environnemental.

Actuellement  la dette actuelle occupe  une grande place dans les débats politiques, or,  la dette ne fait que progresser en raison de sa taille mais surtout des taux d’intérêt. Les marchés financiers ont fait grimper ces taux. Nous sommes devenus dépendants des banques privées.

Les dogmes européens nous mèneront à la catastrophe en prônant l’austérité. En cas de récession on a du chômage, une dégradation des déficits publics puisque certaines dépenses augmentent (prestations de chômage par exemple) et en raison de la chute des rentrées fiscales.

A l’inverse,

Proposons la relance des investissements dans la transition énergétique le renouveau de l’habitat et des transports, la mise à niveau des Universités, l’innovation, dans l’éducation, la santé, la politique industrielle.

Imposons une gestion rigoureuse des comptes publics

Revenons sur les cadeaux fiscaux en réformant la fiscalité.

En avril, reprenez la main : votez pour le programme écologiste.